PROGRAMMATION MAI 2011
USA, 1958, 2h04, VOSTF
Avec Lana Turner, John Gavin, Sandra Dee, Terry Burnham, Susan Kohner, Karen Dicker
Avec Lana Turner, John Gavin, Sandra Dee, Terry Burnham, Susan Kohner, Karen Dicker
Deux femmes, toutes deux veuves et mères d’une fillette, décident d’unir leurs destinées. Lora Meredith, la mère de Susie, est blanche et comédienne, tandis qu’Annie Johnson, la mère de Sarah Jane, qui est noire, se met au service de Lora...
« J’ai essayé d’en faire un film sur la prise de conscience sociale –celle des Blancs, mais aussi celle des Noirs. Les Blancs comme les Noirs vivent des imitations… Il y a une expression merveilleuse de Saint Paul : voir dans un miroir, obscurément. Tout, même la vie, est, qu’on le veuille ou non, loin de soi. On ne peut atteindre ni toucher la réalité. On ne voit que des reflets. Si l’on essaye d’attraper le bonheur, les doigts ne rencontrent qu’une surface de verre. C’est sans espoir »
Douglas Sirk
« En essayant d’échapper à sa race, elle luttait contre son destin, contre sa fierté, contre l’inéluctable comme les héroïnes de Written on the Wind ou de The Tarnished Angels qui, à la recherche d’un paradis perdu, traversent le monde réel comme des somnambules que le moindre choc risque de faire tomber. »
Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon, 50 Ans de cinéma américain
« J’ai essayé d’en faire un film sur la prise de conscience sociale –celle des Blancs, mais aussi celle des Noirs. Les Blancs comme les Noirs vivent des imitations… Il y a une expression merveilleuse de Saint Paul : voir dans un miroir, obscurément. Tout, même la vie, est, qu’on le veuille ou non, loin de soi. On ne peut atteindre ni toucher la réalité. On ne voit que des reflets. Si l’on essaye d’attraper le bonheur, les doigts ne rencontrent qu’une surface de verre. C’est sans espoir »
Douglas Sirk
« En essayant d’échapper à sa race, elle luttait contre son destin, contre sa fierté, contre l’inéluctable comme les héroïnes de Written on the Wind ou de The Tarnished Angels qui, à la recherche d’un paradis perdu, traversent le monde réel comme des somnambules que le moindre choc risque de faire tomber. »
Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon, 50 Ans de cinéma américain
Séances
SEANCE UNIQUE
mardi 17 mai à 21h
mardi 17 mai à 21h