CINÉMA D'HIER ET D'AUJOURD'HUI • OCTOBRE-NOVEMBRE 2013
USA, 1976, 1h38, VOSTF
avec Cliff Robertson , Geneviève Bujold
RÉÉDITION
avec Cliff Robertson , Geneviève Bujold
RÉÉDITION
Michael Courtland, homme d’affaire, voit sa femme Elizabeth et sa fille kidnappées, puis mourir dans un accident de voiture tandis que la police tente de les sauver. Anéanti, il passe les quinze années suivantes de sa vie avec cette obsession du passé. Jusqu’à rencontrer Sandra, sosie parfait d’Elizabeth. Brian De Palma a bâti les bases de son oeuvre d’après son admiration d'Alfred Hitchcock, son maître à filmer. Normal qu'il choisisse Sueurs froides pour son film le plus ouvertement hitchcockien. L'identité évidente entre les deux oeuvres fait que Obsession de Brian De Palma ne fonctionne parfaitement qu'en comparaison avec Sueurs froides.
"(...)Théorique et intellectuel, Obsession est aussi un magnifique mélodrame morbide, une histoire d’amour dans laquelle De Palma donne libre cours à son imagination baroque et son romantisme pervers. La mise en scène de De Palma est constamment inspirée, portée par la musique funèbre de Bernard Herrmann. Initialement intitulé Déjà vu, Obsession emprunte en effet une idée cinématographique à Vertigo, le dédoublement post mortem du corps aimé, qui s’accompagne chez le personnage principal d’une névrose traumatique et d’un sentiment de culpabilité. Mais il saute aux yeux que De Palma, dans cette œuvre maîtresse du début de sa carrière, vise autre chose que le plagiat. Le cinéaste se place d’emblée dans la position de celui qui vient après et propose une réflexion passionnante sur les différentes strates de l’histoire des images."
Arte TV
"(...)Théorique et intellectuel, Obsession est aussi un magnifique mélodrame morbide, une histoire d’amour dans laquelle De Palma donne libre cours à son imagination baroque et son romantisme pervers. La mise en scène de De Palma est constamment inspirée, portée par la musique funèbre de Bernard Herrmann. Initialement intitulé Déjà vu, Obsession emprunte en effet une idée cinématographique à Vertigo, le dédoublement post mortem du corps aimé, qui s’accompagne chez le personnage principal d’une névrose traumatique et d’un sentiment de culpabilité. Mais il saute aux yeux que De Palma, dans cette œuvre maîtresse du début de sa carrière, vise autre chose que le plagiat. Le cinéaste se place d’emblée dans la position de celui qui vient après et propose une réflexion passionnante sur les différentes strates de l’histoire des images."
Arte TV
Séances
Jeudi 24 octobre 2013 à 18h30
Dimanche 27 octobre 2013 à 17h
Mardi 29 octobre 2013 à 18h30
Vendredi 1 novembre 2013 à 20h30
Dimanche 3 novembre 2013 à 19h
Dimanche 27 octobre 2013 à 17h
Mardi 29 octobre 2013 à 18h30
Vendredi 1 novembre 2013 à 20h30
Dimanche 3 novembre 2013 à 19h