PROGRAMMATION FÉVRIER 2010
Japon, 1998, 1h21, VOSTF, animation, interdit -12 ans
Mima, est membre d'un “girls' band” à succès. Quand elle décide de quitter le groupe pour devenir vedette d'une série télévisée, ses fans se désolent. Aussitôt, sa vie tourne au cauchemar. Elle reçoit des messages menaçants sur Internet et son entourage est décimé par une suite d'assassinats sauvages...
« Le dessin animé japonais ne cesse de re visiter tous les genres. Ce manga est un thriller sanglant - pour adultes - qui évoque Brian De Palma. L'héroïne, Mima, est membre d'un « girls' band » à succès. Quand elle décide de quitter le groupe pour devenir vedette d'une série télévisée, ses fans se désolent. Aussitôt, sa vie tourne au cauchemar. Elle reçoit des messages menaçants sur Internet et son entourage est décimé par une suite d'assassinats sauvages.
Le scénario joue diaboliquement sur l'idée de miroir et de dédoublement. Mima s'aperçoit que tout l'accuse, et elle finit par se demander si elle n'est pas la coupable. En plus, le rôle qu'elle interprète au petit écran est celui d'une tueuse schizophrène, ce qui l'amène à répéter devant les caméras les scènes troublantes qu'elle vit à la ville... Jusqu'à la dernière minute, le réa lisateur maintient la tension et entretient le doute. Dans une ambiance glaciale, il joue des architectures urbaines, étouffantes et anguleuses. Rarement le cinéma d'animation aura créé un tel vertige, une telle angoisse. »
Bernard Génin, Télérama
« Le dessin animé japonais ne cesse de re visiter tous les genres. Ce manga est un thriller sanglant - pour adultes - qui évoque Brian De Palma. L'héroïne, Mima, est membre d'un « girls' band » à succès. Quand elle décide de quitter le groupe pour devenir vedette d'une série télévisée, ses fans se désolent. Aussitôt, sa vie tourne au cauchemar. Elle reçoit des messages menaçants sur Internet et son entourage est décimé par une suite d'assassinats sauvages.
Le scénario joue diaboliquement sur l'idée de miroir et de dédoublement. Mima s'aperçoit que tout l'accuse, et elle finit par se demander si elle n'est pas la coupable. En plus, le rôle qu'elle interprète au petit écran est celui d'une tueuse schizophrène, ce qui l'amène à répéter devant les caméras les scènes troublantes qu'elle vit à la ville... Jusqu'à la dernière minute, le réa lisateur maintient la tension et entretient le doute. Dans une ambiance glaciale, il joue des architectures urbaines, étouffantes et anguleuses. Rarement le cinéma d'animation aura créé un tel vertige, une telle angoisse. »
Bernard Génin, Télérama
SEANCES
Jeudi 11 février à 21h
Samedi 13 février à 19h
Mardi 16 février à 18h30
Samedi 13 février à 19h
Mardi 16 février à 18h30