LA LOI DU GENRE • FÉVRIER 2014
USA, 1982, 1h48, int. -12 ans
avec Kurt Russell, T.K. Carter, Wilford Brimley
avec Kurt Russell, T.K. Carter, Wilford Brimley
The Thing
Adaptation de la nouvelle La Bête d'un autre monde de John W. Campbell, The Thing retrace les mésaventures d'une équipe de scientifiques norvégiens, qui, basée sur une station isolée en plein cœur de l'Antarctique, se retrouve face à une créature féroce. Une équipe américaine vient enquêter peu de temps après dans cette zone et essaie de comprendre pourquoi leurs homologues norvégiens ont cherché à abattre à tout prix un chien, avant de disparaître à leur tour... Qu'avait-il de particulier ? Pourquoi la base est entièrement dévastée ?... Un chef d'oeuvre de John Carpenter dont la force réside dans l'élaboration de ses plans, du décor, de la qualité de ses effets spéciaux. Troublant à souhait.
"La qualité et l’audace des effets spéciaux achevèrent de lui ériger une réputation de film culte. (..) Carpenter utilise le paysage enneigé pour souligner l’isolement des personnages seuls face à eux-mêmes en filmant en plan d’ensemble la station, perdue dans la nuit sous une tempête de neige. L’abstraction du film est renforcée par le sentiment que rien ne les entoure, la blancheur des kilomètres de neige qui s’étendent autour d’eux évoquant le vide absolu (donc la mort)."
Mathieu Santelli, Critikat.
"Carpenter s'en donne à coeur joie dès qu'il s'agit de filmer les couloirs souterrains de la station, les paysages glacés, la nuit, le froid, la tension au sein du groupe : à bien des égards, il réalise là son film le plus abouti, le plus maîtrisé."
Olivier Assayas, Les Cahiers du Cinéma
"La qualité et l’audace des effets spéciaux achevèrent de lui ériger une réputation de film culte. (..) Carpenter utilise le paysage enneigé pour souligner l’isolement des personnages seuls face à eux-mêmes en filmant en plan d’ensemble la station, perdue dans la nuit sous une tempête de neige. L’abstraction du film est renforcée par le sentiment que rien ne les entoure, la blancheur des kilomètres de neige qui s’étendent autour d’eux évoquant le vide absolu (donc la mort)."
Mathieu Santelli, Critikat.
"Carpenter s'en donne à coeur joie dès qu'il s'agit de filmer les couloirs souterrains de la station, les paysages glacés, la nuit, le froid, la tension au sein du groupe : à bien des égards, il réalise là son film le plus abouti, le plus maîtrisé."
Olivier Assayas, Les Cahiers du Cinéma
Séances
Samedi 22 février 21h
