PROGRAMMATION AVRIL 2010
France, 1993, 2h02
Avec Sophie Aubry, Judith Godrèche, Christine Boisson, Bernard Giraudeau, Philippe Torreton
Avec Sophie Aubry, Judith Godrèche, Christine Boisson, Bernard Giraudeau, Philippe Torreton
A la mort de sa mère, Tina, vingt ans, part à la rencontre de celui dont elle ignore tout, son père. Mais ce n'est pas à lui qu'elle sera confrontée, c'est à Lise, sa demi-soeur.
« Une nouvelle vie frappe avant tout par son homogénéité, sa cohérence, son côté compact, ramassé, dense, sans que ces traits ne s'affirment au détriment de l'émergence d'un style personnel fort de sa maîtrise et de sa maturité. C'est dans son rapport au récit, à la narration que le film d'Olivier Assayas révèle d'abord ses qualités : dans cet habile mélange de fluidité et de cahot qui crée chez le spectateur ce sentiment d'égarement, de flottement, de somnambulisme dans la façon dont le film bascule à notre insu d'un espace-temps vers un autre.
Dans ce grand écart réussi entre maniérisme et frontalité, Une nouvelle vie trouve sa propre réponse à la question de la fiction dont on garde une trace durable, profonde, confirmant la place personnelle et unique qu'Olivier Assayas occupe dans le cinéma français. »
Frédéric Sabouraud, Les Cahiers du Cinéma
« Une nouvelle vie frappe avant tout par son homogénéité, sa cohérence, son côté compact, ramassé, dense, sans que ces traits ne s'affirment au détriment de l'émergence d'un style personnel fort de sa maîtrise et de sa maturité. C'est dans son rapport au récit, à la narration que le film d'Olivier Assayas révèle d'abord ses qualités : dans cet habile mélange de fluidité et de cahot qui crée chez le spectateur ce sentiment d'égarement, de flottement, de somnambulisme dans la façon dont le film bascule à notre insu d'un espace-temps vers un autre.
Dans ce grand écart réussi entre maniérisme et frontalité, Une nouvelle vie trouve sa propre réponse à la question de la fiction dont on garde une trace durable, profonde, confirmant la place personnelle et unique qu'Olivier Assayas occupe dans le cinéma français. »
Frédéric Sabouraud, Les Cahiers du Cinéma
SEANCES
Samedi 17 avril à 14h30
Lundi 19 avril à 18h30
Mardi 20 avril à 20h30
Lundi 19 avril à 18h30
Mardi 20 avril à 20h30